Fissures inquiétantes et mérule cachée : comment l’expertise a évité un désastre
Je vais vous raconter une histoire qui aurait pu très mal finir. Un immeuble ancien dans le Var, quelques fissures en façade qui ne payaient pas de mine, et des acheteurs qui posent la question classique : “C’est grave docteur ?”
Spoiler : les fissures n’étaient rien. Le vrai problème se cachait derrière les murs. Un champignon destructeur qui grignote les poutres en silence : la mérule.
Sans l’expertise de Clément Macheret, cette vente aurait fini au tribunal. Je vous explique comment on l’a évité.
1. Des fissures visibles… et un danger invisible
Ce que les acheteurs ont vu
Dès la première visite, les acheteurs me montrent les fissures sur la façade : “C’est grave ?” Le vendeur ne sait pas quoi répondre. Moi non plus à ce stade. Problème esthétique ou structurel ? Impossible de savoir sans un pro.
Les fissures qui ont tout déclenché
Ma réaction : j’appelle Clément Macheret, expert en bâtiment. Parce que face au doute, je ne joue pas aux devinettes.
Les fissures ? Pas de problème
Clément sort son fissuromètre et mesure : 1,1 mm et 2 mm. Son verdict : fissures liées aux descentes de charge. Classique dans l’ancien. Rien de grave.
OK, les acheteurs peuvent respirer. Sauf que Clément ne s’arrête pas là. Un bon expert ne regarde pas juste ce qu’on lui montre. Il inspecte tout le bâtiment. Et là, ça se corse.
Le truc qui change tout
En inspectant une poutre en bois couverte de maçonnerie, Clément repère des traces bizarres. Des filaments. Pour vous et moi, ça ne dirait rien. Pour lui, c’est un signal d’alarme.
Il décide de faire des sondages destructifs (oui, on casse un peu) pour accéder à la poutre. Prélèvements envoyés au labo. Résultat : Serpula lacrymans. Autrement dit, la mérule pleureuse.
La mérule découverte derrière la maçonnerie
Important : la mérule n’avait aucun lien avec les fissures. Deux problèmes totalement différents. Les fissures ? Bénignes. La mérule ? Une vraie menace, bien planquée.
Sans cette inspection complète, personne n’aurait rien vu. Et le champignon aurait continué son travail de sape.
2. Sans expertise : le scénario catastrophe
Ce qui se serait passé
Imaginons que je n’avais pas fait venir Clément. Les acheteurs signent, tout le monde est content. Six mois plus tard, un plancher qui commence à s’affaisser. Diagnostic : mérule. Le champignon était là depuis le début, bien caché.
La suite ? Procès pour vice caché. Le vendeur accusé d’avoir caché le problème. Les acheteurs avec des dizaines de milliers d’euros de travaux sur les bras. Et moi au milieu, potentiellement mis en cause.
Une procédure comme ça, c’est 2 à 5 ans de galère et entre 15 000 et 50 000 € de frais. Sans parler du stress.
Faisons un calcul simple
- Une expertise avant la vente : entre 500 et 1 500 €
- Un procès pour vice caché : entre 15 000 et 50 000 € (+ 2 à 5 ans de procédure)
Je vous laisse faire le calcul.
3. Transformer le problème en solution
Les actions à faire tout de suite
Une fois la mérule identifiée, on ne traîne pas :
Première étape : déclaration en mairie. C’est obligatoire (article L126-5 du Code de la Construction). Pas le choix.
Deuxième étape : on appelle une entreprise spécialisée. Seules les boîtes certifiées Qualibat 1532 ou CTBA+ peuvent traiter la mérule. Devis, planning, méthodologie : tout est documenté.
Troisième étape : on adapte la stratégie de vente. Transparence totale avec les acheteurs. Le problème est identifié, le traitement est chiffré, le prix est ajusté. Zéro cachotterie.
Ce que je fais concrètement
C’est là que j’interviens vraiment. Parce que non, je ne vends pas juste des maisons :
- J’appelle le bon expert au bon moment
- Je fais le lien entre l’expert, l’entreprise spécialisée et le notaire
- Je traduis le jargon technique en français normal
- Je m’assure que tout le monde est protégé juridiquement
Sans ça, vendeur et acheteur se retrouvent seuls face à un problème technique et juridique compliqué.
Le résultat
Au final, la vente s’est faite. Le vendeur est tranquille juridiquement, les acheteurs savent exactement ce qu’ils achètent, et tout est sécurisé. Pas de litige à l’horizon.
4. Pourquoi vous ne pouvez pas vous en passer
Quand faut-il s’inquiéter ?
Sur un bien ancien, il faut rester vigilant. Fissures, traces d’humidité, bâtiment atypique, diagnostics qui datent : tous ces trucs peuvent cacher des problèmes.
Le souci ? Ces pathologies progressent en silence. Vous ne voyez rien jusqu’au jour où c’est la catastrophe.
Dans ce dossier, les fissures ont déclenché l’alerte. Mais le vrai danger (la mérule) était totalement indépendant et invisible. Sans une inspection complète par un pro, personne ne l’aurait vue.
Ce que j’apporte
Mon boulot ne s’arrête pas à la signature. Je suis là pour sécuriser votre transaction :
Je détecte les signaux d’alerte : Mon expérience me permet de repérer les situations qui nécessitent un expert. Je ne suis pas expert en bâtiment, mais je sais quand en appeler un.
J’ai un réseau d’experts : Clément Macheret pour le bâtiment, diagnostiqueurs certifiés, entreprises spécialisées, avocats… Un pro pour chaque problème.
Je coordonne tout : Du début à la fin, je fais le lien entre tous les intervenants et je vous explique ce qui se passe en français clair.
Je protège tout le monde juridiquement : Chaque étape est documentée, chaque obligation légale respectée, chaque partie couverte.
Tout le monde y gagne
Le vendeur : Il vend en connaissance de cause, au bon prix, sans risque de procès 3 ans plus tard.
L’acheteur : Il achète les yeux ouverts, peut négocier sur des bases claires, et évite les mauvaises surprises.
Tout le monde : Une transaction propre, sans surprise, sans conflit. Et ça n’a pas de prix.
Conclusion : mieux vaut prévenir que payer un avocat
Sur ce coup-là, l’expertise nous a sauvé la mise. Sans Clément, la mérule aurait continué à grignoter les poutres tranquillement, et ça aurait fini au tribunal.
La morale de l’histoire : mieux vaut prévenir que payer un avocat. Quelques centaines d’euros d’expertise évitent des dizaines de milliers d’euros de procès et des années de stress.
Mon job, c’est pas juste de vendre ou d’acheter. C’est de sécuriser votre projet. Mon réseau d’experts, ma coordination et ma transparence, c’est votre protection contre les galères de l’immobilier ancien.
Vous vendez ou achetez un bien ancien dans le Var ?
Ne prenez pas de risque. Je vous oriente vers les bons experts et je coordonne tout pour une transaction 100% sécurisée.
⚠️ 5 signaux d’alerte qui nécessitent une expertise bâtiment
- Fissures de plus de 0,2 mm en façade ou à l’intérieur
- Affaissement visible d’un plancher
- Traces d’humidité persistantes ou récurrentes
- Déformation de poutres ou de charpente
- Odeur de moisi ou de champignon
- Tout autre doute sur un achat ou une vente
👨🔧 CLEMExpertises Bâtiment
Clément Macheret
